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Geraud Laurentin s’initie à la musique dès son plus jeune âge, entouré d’une grand-mère pianiste et d’une riche discothèque familiale. Il découvre alors les « Guitar Heroes » Johnny Winter, Rory Gallagher, Jimi Hendrix ou encore Eric Clapton, qui l’amèneront au Blues, source de leur style. Naturellement, viendront ensuite s’inscrire dans son panthéon musical, les véritables créateurs de cette musique : Muddy Waters, Son House, Buddy Guy, Albert Collins, Albert King, Jimmy Johnson...

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Dès 1984, il commence à travailler ses premiers accords en autodidacte. Puis viennent rapidement les premiers « bœufs » dans plusieurs lieux emblématiques parisien: Le Baryton, Le Tango, l’Utopia, le Front Page

Un soir de 1988, il va écouter l'incroyable bluesman texan Bill Thomas, au Mother Earth's dans le quartier des Halles. L’artiste, malade, est dans l’incapacité de finir le second set, alors l’harmoniciste du groupe sollicite Geraud pour le remplacer. L’affaire est lancée !

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Quelques temps plus tard, il rencontre le guitariste Luc Canut et le chanteur/ harmoniciste Marc « Pépé » Pedron, tous deux fondateurs d’Alcotest Blues Band. C'est un des meilleurs groupes de Blues français des années 80-90. Fabrice Millerioux est à la batterie et Christophe Garreau à la basse. C’est avec eux qu’il fait ses premières armes sur le circuit professionnel hexagonal; suivent ensuite les premiers accompagnements avec Alamo Leal, Benoit « Blue » Boy, Steve Verbeke, Thibaut Chopin

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Au fil des scènes, d'autres rencontres déterminantes viennent enrichir son parcours, notamment Albert Collins, Bob Margolin, Eddie King Milton, Franck Goldwasser...

Il aura la chance de croiser le fer avec Luther & Bernard Allison, Sherry Margolin, The Bel Airs, Patrick Verbeke, Wayne Kelly, Boney Fields, Guillaume "Honky Tonk" Petite, Don Billiez ...

Il participe dans cette même période à des enregistrements comme guitariste, bassiste et arrangeur/compositeur.

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Au début des années 90, il créé son premier groupe avec Marty Vickers à la batterie, Gérard Lavigne à la basse et Thibaut Chopin à l'harmonica. Il enregistre quelques années plus tard son premier album « Geraud Laurentin & Les Guérisseurs » avec Tom Wilson, immense batteur de Milwaukee. Il profite d’une belle critique de Christophe Mourot dans "Soul Bag", le magazine de référence du blues et la soul en France :

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        « Geraud et les Guérisseurs jouent la carte du Chicago blues électrique classique, avec intermède acoustique, où la sobriété de chacun met en valeur ses qualités musicales et force le respect. Les deux originaux n’ont pas à rougir face aux reprises de Elmore James et d’autres. Le niveau musical élevé, le son excellent et la culture évidente du groupe donnent envie d’aller l'écouter en concert et en font un candidat idéal pour accompagner les bluesmen en visite chez nous. »

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Au cours des années 2000, il se consacre à son autre passion, l’ébénisterie, et à des projets artistiques. Il joue ponctuellement en France ainsi qu’en Argentine.

C’est en 2021 qu’il signe son retour, cette fois sur les scènes bordelaises. Il sort un nouvel album en 2023 « Don’t look up ! » avec la collaboration de musiciens parmi les meilleurs de la scène Blues/ Folk française tels que Stan Noubard Pacha (guitare), Cadijo (harmonica), Andy Martin (batterie), Mig Toquereau (basse/contrebasse), Pierre Fabre (orgue Hammond), Jérôme Dubois (trompette), Benoit Chambille (violon). Il se produit alors en quintet, quartet ou trio suivant les demandes...

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